Le poids des "maux", le choc des photos!

oui oui ne peut pas diffamer (a quoi ça servirait de faire un blog ?) ce n'est pas dans son intérêt et ne raconte pas n'importe quoi , oui oui nous informe des actualités lalbenquoises . Vivant à lalbenque depuis peu je trouve ce blog tres interressant

Tu as raison Jacques ! C'est un peu fort... Mais !<br /> <br /> Je pense qu'on a tout à fait le droit de critiquer l'action de l'équipe municipale et de nos décideurs locaux. Il faut même le faire quand les choses ne tournent pas rond. Par contre, il faut faire face à ses interlocuteurs. Ou alors, il faut le faire publiquement, en signant ses publications. L'ASEL a ce MÉRITE ! Que l'on soit en accord ou non avec eux, nous savons qui ils sont et nous pouvons échanger avec eux.<br /> C'est tout le mérite que n'a pas OUI OUI. Déballer des histoires privées, sans donner de nom, tout en indiquant &quot;Le Clos Pins...&quot; est tout simplement DÉGUEULASSE. Le tout, tout simplement, pour attaquer politiquement une personne ou deux !!!<br /> Alors oui, c'est un peu de provocation que de comparer OUI OUI à &quot;Je suis partout&quot; ; comparer ses auteurs à des collabos, mais la méthode d'information me fait quand même penser à ça ! Désolé !<br /> Sous couvert de l'anonymat, l'équipe OUI OUI peut diffamer et raconter n'importe quoi !

Vraiment Ray (c’est un prénom ou un pseudo?...Jacques étant bien mon prénom!), quelle démesure, quelle stupidité, quelle injure que de comparer les auteurs de ce blog à des collabos qui se cacheraient comme il y a 70 ans... puis seraient jugés et condamnés! <br /> Mais enfin, un peu de raison et de calme, quel est donc ce vent qui souffle sur ce pays de Lalbenque, un vent de folie ou de panique?... Nous avons connu ces derniers jours un vrai vent d'autant salutaire car annonciateur de pluie mais il me semble que celui la est de tout autre nature!<br /> &quot;L'establishment&quot; , la pensée unique, les plein pouvoir € et politiques sont-ils mis en danger par la mise en ligne d'un simple blog moderne et interactif qui utilise les moyens de communication de son temps sans se référer au passé?...Cela me rappelle cette pétition départementale payée par nos impôts locaux que nous avons tous reçu à domicile, à grand renfort de communication, pour sauver notre département d'une loi &quot;scélérate&quot;, abolie depuis par OUI OUI Premier, la Réforme Territoriale! <br /> Et oui, le temps des Seigneurs, des Tsars et des monarques locaux n'est pas révolu et gare à la tête de celles et ceux qui dépasseraient!<br /> Alors Ray vos références historiques se veulent intimidantes elles ne sont que stupides et n’honorent pas son auteur!

Je suis partout est un hebdomadaire français publié par Arthème Fayard, dont le premier numéro sortit le 29 novembre 1930. Pierre Gaxotte est son responsable jusqu'en 1939. Jusqu'en 1942, la rédaction se trouve rue Marguerin à Paris avant de s'installer rue de Rivoli. Journal rassemblant des plumes souvent issues ou proches de l'Action française, il devient, à partir de 1941, le principal journal collaborationniste et antisémite français sous l'occupation allemande. Le dernier numéro paraît en août 1944, et ses rédacteurs seront ensuite jugés et condamnés.

Pas de nom sur les ondes, soldat! Par contre aussi vrai qu'à cet endroit de notre jolie commune, un beau panneau &quot;A VENDRE&quot; décore le verger de môsieur X, aussi vrai que la réglementation comme les lois ne s'appliquant pas à tous en se bas monde, il fût des plus difficile au moment de la prompte démolition du petit bâtiment en pierre qui jouxtait la D 19 a quelques pieds de la &quot;nouvelle maison&quot;, de voir afficher sur un quelconque panneau le réglementaire permis de démolir. Sans doute la mairie et ses défenseurs sera produire copie de cette fameuse demande et autorisation? Quant à la maison, à sa situation géographique, elle me fait gentiment penser à une maison témoin que l'heureux propriétaire des lieux aurait fait construire pour attirer &quot;le client&quot; sur les parcelles encore libre....et à vendre qu'on se le dise! A ce fameux &quot;clos Pins.. &quot; Dame! clos de Piboulède voulais je dire...